Rougeole : une seule solution, la vaccination ? C’est faux !

En réalité la patiente décédée de la rougeole cette semaine a été victime d'une infection nosocomiale et rien d'autre puisqu'elle a été contaminée à l'hôpital. Ce que va oublier de dire la ministre de la , ex-salariée de Big Pharma aux conflits d'intérêts innombrables, c'est que la personne décédée était malade et porteuse de pathologies chroniques ! Pour revenir au massacre annuel dû aux infections nosocomiales, il serait temps que la ministre de la mette en place un plan pour mettre fin à cette hécatombe et tout au moins diminuer ces milliers de morts qui sont en réalité assimilées à des fautes professionnelles. C'est toujours le même problème et la même contradiction : pour un mort dû à la rougeole ou à la rubéole en vaccine 65 millions de Français en engraissant encore Big Pharma. Pour les 20 000 décès causés par les infections nosocomiales, on ne fait rien et on n'en parle même pas.

Madame la ministre, vous devriez vous occuper en priorité de la transmission des maladies dans les salles d'attente des hôpitaux dont vous avez la responsabilité !

La personne décédée de rougeole à Poitiers avait été contaminée aux urgences de l'hôpital où aucune précaution particulière n'avait été prise. De plus, elle souffrait d'une pathologie qui a favorisé son décès.

Extraits du témoignage de sa mère [1] :

« Il y avait des tas de gens malades, dont des enfants qui attendaient sur les fauteuils. Mais personne ne portait de masque. Personne ne nous a rien dit ». Elle affirme que sa fille a « contracté la maladie aux urgences ».

Le CHU de Poitiers a de son côté réagi en estimant que la victime fait partie des cinq personnes qui « ont pu contracter la maladie au contact d'un autre patient au CHU de Poitiers lors de l'apparition des premiers cas ». Si l'hôpital a annoncé avoir pris des mesures, comme le port du masque dans les zones à risque, au moment du passage de Jessica aux urgences, il n'en était rien selon la mère. « Jessica souffrait d'obésité, elle ne sortait jamais, parce qu'elle n'osait pas. La seule fois où elle est sortie, c'est pour accompagner son père et moi au CHU de Poitiers. Il n'y a que là qu'elle a pu contracter la rougeole ! », explique la mère qui assure que ce week-end-là, aucun message de prévention n'était mis en place pour prévenir le risque épidémique infectieux. »

Le 14 février la ministre a ainsi répondu à la mère [6] :

« La mère de la victime, qui n'était pas vaccinée, affirme que sa fille a contracté la maladie à l'hôpital : « C'est ce que dit la maman. Aujourd'hui, je n'ai pas les éléments, évidemment, pour conclure. J'attends donc de savoir ce qui sera dit par le personnel de l'hôpital, puisque nous avons demandé, évidemment, des remontées », répond . »

Il semble pourtant que le CHU de Poitiers ait pratiquement reconnu l'origine de la contamination.

Oui, madame la ministre, le premier problème est là et il est de votre responsabilité. On retrouve la même problématique avec le témoignage diffusé sur à propos de cet enfant allemand qui avait contracté la rougeole à l'âge de 6 mois dans la salle d'attente d'un pédiatre. Plus tard il fera une panencéphalite rougeoleuse dont il décèdera. Voir mon article [2]

Les lieux médicaux concentrent des malades de diverses pathologies dont certains peuvent être contagieux. Quand j'étais jeune on nous disait que quand on était malade ainsi il fallait rester au lit et  c'était le médecin qui se déplaçait. Aujourd'hui les médecins ne veulent plus se déplacer et les contagieux vont dans les salles d'attente avec de la fièvre et d'autres malades qui attendent et vont être contaminés alors qu'ils sont déjà malades d'autre chose. UNE CATASTROPHE sur laquelle le ministère devrait s'interroger de toute urgence.

L'effet de mesures de protection comme le port de masques pour tous dans les salles d'attentes des hôpitaux ET des médecins de ville (ou de campagne !) serait immédiat sur la propagation du alors que la ne peut avoir qu'un effet très différé. Espérons que la ministre le comprendra … Elle attend les rémontées de l'hôpital … On a le temps en effet !!! 

On pourrait aussi rappeler les salles de sports fermées pour être transformées en centres de vaccinations ouverts en 2009 pour y faire tourner pendant des heures, entre des barrières, la population invitée à aller se faire vacciner contre le H1N1. Que ce soit dans ces centres ou dans les salles d'attente des médecins, les risques de contamination par de multiples pathogènes y étaient très élevés.

Il existe des milliers de pathogènes contre lesquels il est impossible de se protéger par des vaccinations. La première, la principale mesure est de tenter d'éviter leur transmission et d'abord en évitant le plus possible les concentrations de malades comme cela se produit dans les lieux médicaux.

Quand la ministre et autres experts affirment que contre la rougeole il n'y a pas d'autres solutions que la , c'est faux ! Le mauvais exemple de l'hôpital de Poitiers vient, une fois de plus, de le démontrer. 

Voir aussi mon article « Comment se propage le virus de la grippe ? » où j'ai essayé de rapporter ce que l'on sait sur sa propagation et sur l'importance des mesures barrières  [3].

Il y a aussi l'importance de l'isolement dans la victoire sur la variole. j'ai écrit de nombreux articles à ce sujet. Par exemple le dernier « La variole au secours des 11 obligations vaccinales ! »  [4]

Ajoutons que cette femme est aussi victime du fait qu'elle n'a pas pu faire une rougeole à l'âge qui était habituel pour cela et ce en raison de la vaccination des autres ou plutôt de la décision irréfléchie de lancer précipitamment une campagne désordonnée de vaccination pour tenter d'éliminer mondialement la maladie et d'éradiquer le avec un vaccin qui n'a pas les propriétés requises pour cela.

Il y a là une très grande imprudence et une immense responsabilité de la part de ceux qui veulent diriger la santé mondiale.

Voir mon article sur les propriétés connues du  vaccin contre la rougeole  

« L'impossible éradication de la rougeole » [5]

En 2017, 519 cas ont été déclarés, près du septuple de 2016 (79 cas), souligne l'agence sanitaire. Elle met en garde: « La France n'est pas à l'abri d'une nouvelle épidémie d'ampleur importante, comme celles observées dans plusieurs pays » européens comme l' (près de 5.000 cas), l' (plus de 900) ou la Roumanie (plus de 6.000).

Enfin, « le taux de vaccination en Nouvelle-Aquitaine n'est pas très différent de la moyenne nationale », renchérit M. Lévy-Bruhl. « Il n'y a pas de spécificité qui explique que l'épidémie touche cette région, donc si c'est arrivé là aujourd'hui, ça arrivera probablement ailleurs demain ».

Je viens de retrouver un commentaire que j'avais posté il y a plus de 10 ans et qui me paraît être d'actualité. c'était à propos du vaccin ROR présenté   comme étant alors obligatoire :

http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2007/09/28/6364534.html

« Je fais faire le vaccin parce qu'il est obligatoire, que ce soit vrai ou faux, sera toujours un échec pour notre santé publique. L'objectif à atteindre pour elle : amener la population à accepter une vaccination en raison de son utilité médicale et épidémiologique avec des arguments justes car la Confiance est le bien le plus précieux et elle ne peut être durable que dans la Vérité.

Notre système médical ne sait pas se faire accepter et ne trouve pas d'autres solutions pour accroître la CV du ROR que de chercher à faire croire qu'il est obligatoire. Au Québec où il n'existe aucune vaccination obligatoire et où le consentement doit être obtenu avant toute vaccination ils ne peuvent utiliser ce moyen et pourtant ils obtiennent des CV plus élevées qu'en France. Alors ? Ils ont appris à se faire accepter alors que nos obligations vaccinales sont une solution de facilité dispensant de tout effort.

Suggestion : remplacer CV = couverture vaccinale, par Confiance et Vérité »

« Le virus de la rougeole est un virus qui n'aime pas la chaleur, (il meurt après trente minutes passées au-dessus de 60 degrés), et qui est détruit par l'alcool à 70%. Mais, comme il est transmis lors d'une simple conversation, en cas de toux ou d'éternuement, il est possible de l'attraper assez facilement au contact d'une personne infectée, fait que l'on l'ignore le plus souvent puisque l'éruption sur la peau survient au moins 10 jours après que le malade soit contagieux


 La Question des vaccins 


[1] https://www.lci.fr/sante/cas-mortel-de-rougeole-la-mere-affirme-que-sa-fille-a-contracte-la-maladie-aux-urgences-2078730.html [2]  http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2018/01/31/36100553.html [3]  http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2015/10/14/32774465.html [4]  http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2017/12/28/35996585.html [5]  http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2017/10/03/35732843.html [6]  https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/rougeole-la-ministre-de-la-sante-demande-aux-personnes-non-vaccinees-de-faire-un-rattrapage_2610018.html

 

Sources : La Question des vaccins / Le Libre Penseur

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