Vaccins : Sébastien regrette amèrement d’avoir, à l’époque, fait vacciner ses enfants. Il invite les parents à plus de vigilance.
“Mes deux enfants, qui souffraient de déficits immunitaires, sont décédés après leur dernière vaccination. Nous ne saurons jamais si les vaccins sont responsables de leur mort car le déficit immunitaire brouille les cartes” , explique Sébastien.
Depuis ces tragiques événements, ce Bruxellois n’a eu de cesse que de se renseigner sur la vaccination.
“Il suffit de s’intéresser aux études ou aux pays voisins pour se rendre compte que la vaccination peut être remise en cause. Par exemple, il n’y a pas plus de malades chroniques qu’aux États-Unis, alors que c’est l’un des pays où l’on vaccine le plus”, insiste-t-il.
Sébastien se souvient avec amertume de la période où il a fait vacciner ses enfants :
“À l’époque, quand le pédiatre a dit qu’on allait vacciner les enfants, on ne s’est pas posé de question puisque c’était un médecin.”
Un geste que ce père regrette aujourd’hui. “La loi d’août 2002 sur l’information du patient est systématiquement bafouée en Belgique. Jamais on ne précise aux parents les effets néfastes que peuvent avoir les vaccins. Le médecin jette vite la notice à la poubelle et procède à la vaccination. On ne laisse pas aux parents le temps de réfléchir.”
Sébastien plaide donc pour que la vaccination ne soit plus effectuée à l’aveugle. Il incite les parents à peser le pour et le contre avant de se lancer dans la vaccination et à se renseigner davantage sur cette pratique qu’il ne juge pas anodine.
Pour lui, le choix est déjà fait : s’il a la chance de devenir père à nouveau, il refusera que ses enfants se fassent vacciner.
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Source(s) : DH.be / L. SA, le 07.03.2014