Un nouveau scandale autour de la pédophilie secoue actuellement la Grande-Bretagne. La publication de plusieurs documents au nom de Patricia Hewitt, membre du Parti Travailliste (gauche anglaise) et ancienne secrétaire d’État à la santé jusqu’en 2007, plaidant pour la réduction de l’âge du consentement sexuel et appelant à la légalisation de l’inceste, ont forcé l’ancienne ministre à présenter ses excuses.
L’affaire remonte à la fin des années 70 et au début des années 80. A cette époque Patricia Hewitt fut secrétaire générale du NCCL, le Conseil national pour les libertés civiles (National Council for Civil Liberties), de 1974 jusqu’en 1983.
Le nom de l’ancienne ministre est le seul nom présent sur un communiqué de presse publié en mars 1976 par le NCCL annoncant que le « NCCL propose que l’âge du consentement sexuel soit abaissé à 14 ans avec des dispositions particulières pour les cas où les partenaires sont proches en âge.
Elle avait aussi ajouté que « le rapport affirme que le crime d’inceste devrait être abolie . Car à notre avis, il n’y a aucune raison pour faire de l’inceste un crime lorsqu’il est commis entre personnes mutuellement consentantes ».
Patricia Hewitt a finalement brisé son silence et a présenté ses excuses pour son rôle dans ce scandale après que le journal The Telegraph lui ait demandé d’expliquer pourquoi le NCCL avait à cette époque promis sa « protection et son soutien » au groupe pédophile Paedophile Information Exchange (PIE).
La BBC se demande de son coté comment ce groupe pro-pédophile a pu exister ouvertement pendant 10 ans :
Le Paedophile Information Exchange a été affiliée au Conseil national pour les libertés civiles à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Mais comment des militants pro-pédophiles ont-ils pu opérer si ouvertement ?
Une conférence sur les droits des homosexuels soutient une motion en faveur de la pédophilie. Une histoire est écrite dans un journal de la presse nationale « Child-lovers win fight for role in Gay Lib« .
Cela ressemble à une intrigue cauchemardesque d’une fiction dystopienne. Mais c’est arrivé au Royaume-Uni. La conférence a eu lieu à Sheffield et le journal était The Guardian. L’année était 1975 […].
Le fondateur du PIE, Thomas O’Carroll, fut condamné à plusieurs reprises pour possession et diffusion de matériel pédo-pornographique.
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Source(s) : The Daily Mail, le 27.02.2014 / The Telegraph / Nouvel Ordre Mondial
En fait, ça se passe dans beaucoup de pays en Europe depuis très longtemps.
Mais on intimide les victimes et de toute façon, on ne nous crois pas.