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Réforme des institutions : les francs-maçons à la manœuvre

On nous explique à longueur de journées que les francs-maçons sont faibles et qu'ils n'ont aucun pouvoir voire qu'ils s'interdisent toute ingérence, puis d'un coup, un seul article démolit toute cette propagande mensongère. En réalité, le lobbying de la maçonnique – très puissante en France et l'ayant toujours été depuis la révolution et sa prise de pouvoir – ne cesse de s'exercer. La fraternité parlementaire est là encore une fois pour le prouver et le démontrer à quiconque ose encore douter de cette réalité. L'article ci-dessous est un article du Parisien et non celui d'un sombre site conspirationniste  que les Décodeurs du Monde vont tenter de discréditer…

Encore une fois, une très petite partie de la population connaît l'existence même de la . La grande majorité ignore que ce sont ses membres qui décident de leur avenir et quelles seront les institutions qui géreront leur vie quotidienne ! C'est la moindre des choses que de communiquer sur ce pouvoir occulte qui ne dit pas son nom…

La « fraternité parlementaire » se mobilise sur ce projet cher au chef de l'État et contre lequel bataille le président du Sénat, Gérard Larcher.

Débat d'idées ou guerre de la communication ? En tout cas, la réforme des institutions, qui sera au menu du Conseil des ministres d'ici à la fin du mois, va s'enrichir d'un nouvel acteur : la . Depuis quelques semaines, les francs-maçons du Parlement, quelque 200 à 250 députés et sénateurs, surtout des sénateurs, des collaborateurs parlementaires ou des hauts fonctionnaires, ont décidé de se saisir du sujet.

« Sans arrière-pensée politicienne, de façon transpartisane et toutes obédiences confondues », assure Christophe-André Frassa, le nouveau président de la « Fraternelle parlementaire », élu en octobre dernier. Une exception, toutefois, tous ceux défendant des idées racistes ou antisémites y sont interdits. Après la Nouvelle-Calédonie, le patron de la « Frapar », comme la dénomment ses membres, a donc choisi cette question sensible et centrale dans la stratégie d' pour remobiliser un cercle de pensée et d'influence assoupi depuis plusieurs années.

Ce sénateur de 50 ans, élu en 2008 pour représenter les Français de l'étranger, émarge au parti des Républicains, tendance Sarkozy et maintenant Wauquiez. C'est dire que le texte concocté par le gouvernement, il le surveille comme le lait sur le feu. Groupe de travail ad hoc, dîner-débat le 10 avril prochain, avec pour invités quelques ténors du droit constitutionnel…

« Réformer pour réformer, nous n'y sommes pas favorables ». Et, au bout de cette , des propositions que chaque groupe présentera au moment de la discussion parlementaire. « Notre engagement correspond à un moment crucial, où le parlement bashing est permanent et où l'on n'hésite pas à remettre en cause notre légitimité », explique le Christophe-André Frassa. « La réforme des institutions doit être synonyme de la défense de la République, de la séparation effective des pouvoirs, des libertés publiques et des droits parlementaires, des principes pour lesquels les francs-maçons ont payé de leur vie », insiste-il.

Y aura-t-il des « lignes rouges », chères au président Larcher ? « Non, mais les francs-maçons ne veulent pas laisser l'exécutif décider à la place du législatif quant à l'avenir des institutions », martèle le sénateur Frassa. Que pense-t-il, alors, de la diminution du nombre des parlementaires préconisée par ? « Le faire sans renforcer les pouvoirs du Parlement est une aberration », avertit le sénateur.

Et de la réduction du nombre de circonscriptions ? « Avec des circonscriptions qui seraient mécaniquement plus vastes, attention de bien garantir la représentation des territoires », assène-t-il, comme en écho au président du Sénat qui a fait de cet argument son cheval de bataille. « S'il s'agit de réformer pour réformer, nous n'y sommes pas favorables. Ce qui compte c'est l'application d'une telle réforme », prévient encore le patron de la « Fraternelle parlementaire ». Dans quelques mois, les francs-maçons du […]

La franc-maçonnerie pour les nuls

 

Sources :  Orange Actu / Le Parisien / Le Libre Penseur Franck , l'abstentionniste qui énerve les cons

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