RASSEMBLEMENT POUR LE SOUTIEN AUX HABITANTS DE TAWERGHA AU TROCADERO LE 17/03/2018

Rassemblement pour le soutien des habitants de Tawargha

Devant la Plaque des Droits de l'Homme, Place du Trocadero

Samedi le 17 mars 2018 à 14 heures

TROCADERO LE 17/03/2018
TROCADERO LE 17/03/2018
TROCADERO LE 17/03/2018
TROCADERO LE 17/03/2018
TROCADERO LE 17/03/2018
TROCADERO LE 17/03/2018
TROCADERO LE 17/03/2018
TROCADERO LE 17/03/2018
TROCADERO LE 17/03/2018
TROCADERO LE 17/03/2018
TROCADERO LE 17/03/2018
TROCADERO LE 17/03/2018
Hommage à Elgiabu Ramadan
Hommage à Elgiabu Ramadan

À cause de l'effondrement total de l'État libyen par l'agression internationale et la guerre mondiale menée par 42 pays en 2011, et à cause aussi de la soi-disant « Protection des civils » décidée par les Nations Unies et mise en œuvre par la Œuvres et d'autres pays, des milliers de Libyens vivent aujourd'hui, déplacés en dehors de leurs maisons et de leurs villes, sont harcelés par les milices djihadistes, habitent dans des tentes et ne survivent que grâce aux aides d'organisations humanitaires et onusiennes.

Les droits des libyens sont bafoués et ces populations peuvent difficilement se retrouver en tant qu'êtres humains ayant vécu dans la sécurité, la stabilité et la satisfaction de leurs besoins nécessaires, à cause de la répression exercée par les milices, les extrémistes, les bandes criminelles et leur domination sur toutes sortes de pouvoirs et de richesses.

La tragédie de Tawargha est l'un des résultats du prétendu programme de protection des civils mené en 2011 qui a abouti à la destruction de l'État libyen. En raison des mensonges et des allégations des agresseurs, les habitants de Tawargha sont illégalement punis pour des actes dont ils n'ont pas été l'auteur, par le déplacement, l'exil et la torture. Parce qu'ils refusent de trahir leur patrie, refusent d'obéir aux milices qui veulent tout contrôler et qu'ils refusent la soumission et  de vendre le pays à l'extrémisme, à la tyrannie et au racisme, qu'ils sont maintenant sanctionnés.

Le fait que les milices de Misrata, empêchent les propriétaires de la terre et des maisons d'exercer leur droit de retour, est un crime international sanctionné par les normes juridiques internationales les plus claires et les plus reconnues par la communauté internationale.

Le silence sur ce qui passe en signifie la complicité et la collaboration avec les milices pour commettre ce crime. Nous demandons à la communauté internationale d'agir pour empêcher la continuité de l'exécution de ce crime, et de répondre aux demandes du peuple libyen que fin soit mise à ces crimes. Le mal et la souffrance infligés au peuple libyen par les milices, l'absence de l'État et la dégradation de la situation humanitaire, sécuritaire, économique et constituent tous des crimes dont la Œuvres en particulier et la communauté internationale en général sont les responsables.

OUI au retour des habitants de Tawargha, et autres personnes et groupes exilés chez eux, OUI au renforcement de l'armée libyenne et à l'état de droit, à la légitimité populaire, aux institutions démocratiques et à la transitionnelle.

Non disons :

NON à la de vengeance, de haine et de discrimination, NON aux milices, à l'extrémisme,  aux gangs criminels et aux institutions de pillage et de .

Nous exigeons une commission d'enquête concernant les mensonges décrétés par le gouvernement Sarkozy en 2011 afin de programmer la destruction de la et l'assassinat de son chef.

Nous voulons que le gouvernement français, exécutant notre volonté souveraine, fasse pression  sur les milices afin qu'elles libèrent les nombreux prisonniers partisans de l'ancien régime.

(s)

Rassemblement de la Communauté Libyenne en France.

La voix de la Libye.com

Comité international de défense des droits du peuple libyen

L'association « La Pierre et de l'Olivier », réseau de solidarité avec le peuple de .

Le CRI, .

.

Comité français de soutien à Saïf al Islam Kadhafi.

L'association « Entre la plume et l'enclume ».

Laisser un commentaire

Retour en haut