Premier cas de transmission du Virus ÉBOLA entre humains sur le sol Américain – « L’Opération ÉBOLA » : De l’Ordre Dans le Chaos …

C’est donné par Zero Hedge , Un travailleur employé de l’Hôpital de Dallas testé positif  au Ébola :  le 1er cas apparemment de transmission de personne à personne sur le sol américain . 

 

 Zero Hedge a beaucoup insisté sur le fait qu’on a amené volontairement le virus ÉBOLA sur le sol Américain, et on voit ce que ça donne : les conditions sanitaires dans certains hôpitaux sont tels qu’ils deviennent de vrais réservoirs à épidémie, et nombre d »éléments poussent à penser qu’ils sont utilisés comme tels ;

Nous avons déjà parlé de l’hopital de Kenama en Sierra Leone, au centre de l’épidémie, et qui abritait un des laboratoires d’armes biologiques de biosécurité niveau 2 des États-Unis avec des liens (financements notamment) avec la Fondation Bill et Melinda Gates et la Fondation Soros, où des scientifiques de biodéfense américains ont travaillé sur des fièvres virales comme le virus Ébola depuis au moins 2011, lire ici , et  ici, qui a d’ailleurs été fermé récemment, lire ici , et où étrangement, travaillaient Cinq coauteurs d’une étude sur Ébola qui ont été tués par le virus avant sa publication :

« C’est une publication sans précédent qui vient d’être mise en ligne sur le site de la revue américaine Science. Une double première. D’abord, parce qu’elle met en lumière la dynamique génétique intime des innombrables isolats du virus Ébola qui progressent actuellement en Afrique de l’Ouest. Ensuite, parce que cinq de ses signataires sont morts avant de voir leurs noms publiés dans la prestigieuse revue de l’American Association for Advancement of Sciences.

Cinq morts sur cinquante-huit auteurs, cinq morts infectés par le virus contre lequel ils luttaient. L’article avait été adressé pour publication à la rédaction en chef de Science le 5 août. Après relectures par des pairs, il a été accepté le 21 août et est donc publié sept jours plus tard. Quatre auteurs sont morts avant sa rédaction finale, le cinquième pendant la relecture.« 

Bizarre tout ça non ? Pas mal de choses pas claires quand même .

A ce sujet je rappel ce papier : Des experts “qui en savaient trop” à propos d’un laboratoire d’armes biologiques qui fabriquait une nouvelle souche du virus Ébola tués dans le vol MH17 

 (hé oui LE VOL MH 17 , cf LAGARDE, lire Du message occulte de Christine LAGARDE déchiffré, à l’effondrement de l’économie, et à la 3e guerre mondiale …)

Donc les hôpitaux sont de fait des relais du virus, tant ceux dans les pays pauvres , que riches (à moindre mesure)  , comme l’a rapporté ZH dans plusieurs articles , comme par exemple :

Pourquoi l’Amérique n’est pas prête pour faire face à une épidémie d’Ébola (En 1 Photo) :

Hôpital aux US censé appliquer « le protocole ÉBOLA » : à gauche il a les manches retroussées ….

Dans ce sens, Il y a plus d’une semaine que je voulais vous en parler  de ce papier du New york times, qui montre comment un hôpital en sierra leone à Makeni est un véritable propagateur du virus :

A Hospital From Hell, in a City Swamped by Ébola :

Traduction : A l’Hôpital de l’enfer, dans une ville Débordé par Ébola

Voici ce que raconte le NYT sur les conditions sanitaires dans l’hôpital, les mots sont crus .

MAKENI, Sierra Leone – «Où est le cadavre » le travailleur de l’équipe a crié, mettant des coups de pied la porte de la salle d’isolement à l’hôpital public . Le corps était juste en face de lui, un jeune homme solidement bâti étendu sur le plancher toute la nuit, sa main droite tordue …

Les autres patients, normalement cadenassées à l’intérieur, étaient trop malades pour rechercher le corps , qui a été transporté loin. Les Infirmières, dont certaines ne portaient pas de gants et certaines étaient en tenue de ville, étaient regroupées devant la porte alors que des réserves de fluides corporels des patients étaient répartis au seuil. Un travailleur avait lancé un autre homme sur le sol pour voir s’il était encore en vie. Le pied de l’homme bougea et l’équipe continua. Il était 1h30 dans l’après-midi.

Voir une fillette de quatre ans … seule, effrayée, avec des saignements et mourant dans les restes des fluides d’autres patients, est tellement inacceptable, inhumain et choquant, que je peux à peine tenir debout à la contempler. » 

Dans la salle voisine, une fillette de 4 ans gisait sur le sol dans l’urine, immobile, avec des saignements de la bouche, les yeux ouverts. Un cadavre se trouvait dans le coin – une jeune femme, les jambes croisés, qui était morte pendant la nuit. Un petit enfant se trouvait sur un lit à regarder l’équipe  mettre le corps à l’écart, pas à pas autour d’un petit garçon couché immobile à côté de seaux noirs de vomi . Ils ont pulvérisé le corps, et la petite fille sur le sol, avec du chlore, puis ils sont partis.

Alors que l’épidémie d’Ébola qui s’intensifie dans certaines parties de l’Afrique de l’Ouest, les nations et les organismes d’aide se sont engagées à répondre avec une force croissante. Mais la maladie a déjà dépassé de loin les promesses, balayant des zones qui avaient été en grande partie épargnée par les attaques et qui n’étaient pas le moins du monde préparées.

Les conséquences dans des endroits comme Makeni, l’une des plus grandes villes de la Sierra Leone, ont été dévastatrices.

« Le pays tout entier a été frappé par une chose pour laquelle il n’était pas prêt », a déclaré le Dr Amara Jambai, directeur de la prévention et du contrôle au ministère de la santé de la Sierra Leone.

Donc notre these de départ , avec les hopitaux au centre de l’épidémie (au départ et pendant celle ci) , se vérifie factuellement .

Surtout quand on lis ces 2 papiers du GUARDIAN 

La Réduction de l’aide du Royaume-Uni en Sierra Leone a peut-être contribué à la propagation du virus Ébola, selon les députés 

« Le International development select committee (comité de développement international) du Royaume-Uni dit qu’il a eu tort  de réduire l’aide à la Sierra Leone et au Libéria de près d’un cinquième »

Les coupes dans l’aide du Royaume-Uni en Sierra Leone et au Libéria ont peut-être joué un rôle dans la propagation rapide du virus Ébola, selon les députés.

Le comité de développement international (International development select committee) dit que la réduction du financement de la Grande-Bretagne pour les pays ouest-africains aurait pu aider à compromettre leurs systèmes de santé, qui se sont désintégrés face à l’épidémie, avec un nombre élevé de décès pour les travailleurs de la santé ainsi que les patients ;

D’où découle ce 2e papier du GUARDIAN :

Ébola: les hôpitaux de la Sierra Leone à court de fournitures de base, disent les médecins

« Malgré les promesses d’aide occidentale, les agents de santé locaux manquent de tout, du paracétamol aux vêtements de protection

Des Médecins luttant contre le Ébola dans l’une des plus grandes villes de la Sierra Leone ont dit qu’ils sont à court de fournitures médicales de base et devêtements de protection, malgré les promesses d’aide internationale.

Le Royaume-Uni a déclaré qu’il est déterminé à accélérer l’offre de santé publique à travers la Sierra Leone, la construction d’au moins quatre nouvelles installations de traitement d’Ébola près des centres urbains, dont un à Makeni, un grand centre commercial à environ 120 miles au nord de Freetown.

Mais avec une augmentation de 600% des cas, les habitants et les agents de santé disent qu’ils ne peuvent pas attendre et ont désespérément besoin de fournitures rudimentaires allant de matelas au paracétamol.

Donc , on sent une volonté au plus haut niveau de propager la maladie et la peur, en propageant ce virus , j’en ai déjà parlé, d’abord en le créant dans un laboratoire financé par Gates et Soros, ici en coupant les aides, en donnant par le biais de l’OMS des consignes dangereuses au niveau mondial (lire ici et ici) ,  et en utilisant les hopitaux et les médias comme « relais », les uns pour diffuser la maladie, les autres pour diffuser la peur  .

Mais il y a d’autres aspects . 

 Zero Hedge a rappelé plusieurs fois qu’une pandémie était un motif pour déclencher la loi martiale :

Au cours d’une pandémie de virus Ébola tous vos droits seraient essentiellement sans valeurs :

S’il y a une pandémie majeure de Ébola en Amérique, toutes les libertés que vous aimez en ce moment seraient retirées .  Si les responsables gouvernementaux croient que vous avez le virus, la loi fédérale leur permet de vous rassembler et de vous  détenir « pendant la durée et de la manière qui leur semble raisonnablement nécessaire ».

En outre, la CDC (Centers for Disease Control and Prevention) a déjà le pouvoir de mettre en quarantaine les Américains en bonne santé s’ils estiment raisonnable qu’ils peuvent devenir malades.

Lors d’une épidémie, le gouvernement peut vous forcer à rester isolés dans votre propre maison, ou le gouvernement peut vous emmener de force à une installation de traitement, une ville de tentes, un stade, une ancienne base militaire ou un camp. Vous n’auriez pas le choix en la matière.  Et vous seriez obligés de supporter tout acte médical mandaté par le gouvernement.  Cela inclut les interventions, les vaccins et les perfusions de sang.

Lors d’un tel scénario, vous pourrez crier aussi fort que vous voudrez pour vos « droits » , mais ça n’aura aucun impact et ne vous fera aucun bien.

Dans le cas où vous seriez tentés de penser que j’invente tout ça, je veux que vous lisiez ce que la loi fédérale dit réellement.Le texte suivant est la loi :  42 USC 264 (d) . Je l’ai ajouté car je trouve audacieux de mettre l’accent dessus …

Je rappelle notre papier de cette semaine qui va dans ce sens : Le ministère de la Santé du Connecticut reçoit le pouvoir de mettre en quarantaine les personnes « suspectées » d’Ébola (Washington Post)

Et là avec cette news, ça devient vraiment très suspect toute cette affaire :

Il y a quelques heures, l’hôpital presbytérien de santé Texas, a annoncé que le travailleur de la santé qui s’est occupé des soins avant la mort du patient atteint du Ébola Thomas Éric Duncan, a été testé positif au virus après un test préliminaire, ont indiqué des responsables dimanche matin. Si elle est confirmée, ce serait la première transmission connue de la maladie de personne à personne, aux États-Unis .

Le quotidien précise :

Le nom du patient est actuellement inconnu, ce qui est connu cependant, est que le travailleur était  »considéré comme ayant un  faible risque de contracter le virus » Il ou elle portait des vêtements de protection complets lors du traitement de Duncan, suggérant – encore une fois – qu’il existe un mécanisme de transmission qui n’est pas comptabilisée selon le protocole classique.

Les tests de confirmation du second cas sur le sol américain sera menée par le Centers for Disease Control and Prevention (CDC) à Atlanta, afin de confirmer la déclaration du Texas Department of Health Services , selon l’État .

Le travailleur a eu une fièvre vendredi soir et a été isolé et appelé pour les tests . « Nous sommes conscients que un deuxième cas pourrait être une réalité, et nous nous préparons à cette éventualité », a déclaré le Dr David Lakey, commissaire du Department of Health Services de l’État du Texas. «Nous élargissons notre équipe à Dallas et nous travaillerons avec une extrême diligence pour empêcher la propagation. »

Hélas, jusqu’à vendredi soir, la propagation était encore une fois complètement non confiné si ledit travailleur a été en mesure d’interagir avec d’innombrables autres, qui deviendront symptomatiques seulement après qu’ils auront à leur tour transmis la maladie à un nombre inconnu de leurs propres amis, connaissances et collègues.

Le communiqué ajoute que les personnes qui ont été en contact avec ce travailleur de la santé après que les symptômes aient émergés « seront surveillés en fonction de la nature de leurs interactions et du potentiel qu’ils ont d’avoir été exposés au virus. »

Cette annonce est intervenue quelques heures après l’aéroport JFK de New York a commencé un programme de dépistage sur le Ébola, prenant  la température des passagers en provenance de trois pays d’Afrique de l’Ouest.

La déclaration complète du Department of Health Services de l’État du Texas .

Le virus serait-il d’ores et déjà aéroporté ?

On avait eu cette info bizarre des le début : 170 travailleurs de la santé maintenant infectés par le Ébola, « malgré leurs vêtements de protection » !!!, et je rappel ce papier, entre plusieurs qu’on a publiés, qui montre que le virus pourrait déjà avoir muté. 

En tous cas tout ça ressemble fort à une véritable opération ÉBOLA pensée à un haut niveau, qui peut avoir pour but de créer la panique et de répandre la peur afin de dégager des marges de manœuvres, voir de créer le chaos (ou faire parti du processus de création du chaos)

Pour ensuite imposer la vaccination de la population, et ça peut etre pour faire des bénéfices (Big pharma) , voir … dépeupler (guerre biologique) voir les 2 , je rappel cette news (sérieuse …) si vous pensez que c’est trop farfelu :

 l’OMS a autorisé un vaccin expérimental et le Canada fournira des doses du vaccin expérimental , un vaccin mis en place par un Eugéniste notoire , qui avait affirmé (en plaisantant  ???) vouloir éradiquer 25% de la population mondiale ! 

(Lisez aussi celui ci au passage : Édifiant – Vaccins : L’Inde poursuit la Fondation Bill et Mélinda Gates pour avoir testé sans leur consentement des vaccins sur des enfants ( lls auraient provoqué 10 000 décès liés à la vaccination rien qu’au Pakistan) !)

Ou encore, imposer la loi martiale, une intervention militaire , etc … ou TOUT à la fois (la trame reste hordo hab chaos) : vous voyez tous les leviers politiques que ça donne . 

 Alors : Y’a-t-il une « opération ÉBOLA » ??!!

Beaucoup d’élément concrets laissent penser que … OUI .

Relier les points :  De l’ordre dans le chaos …

(article qui pourra encore être complété)

__________________________________________________________

Source(s) : Zero Hedge / New york times / The Guardian / Résistance Authentique – Washington Post, le 12.10.2014

Laisser un commentaire

Retour en haut