L’aide-soignante espagnole dans un état de plus en plus critique, le peuple réclame la démission des Responsables de ce fiasco

Tandis que les fonctions respiratoires de l’aide soignante, victime d’une contamination en Espagne, suite au rapatriement inconsidéré de 2 missionnaires eux-mêmes contaminés en Afrique des décédés depuis, s’aggravent, la population espagnole (et européenne) est excédée par l’incurie des Autorités espagnoles (et européennes) qui ont fait courir un risque sanitaire énorme aux Madrilènes !

Des voix s’élèvent pour réclamer la démission de la Ministre de la Santé espagnole, qui a failli sur toute la ligne dans ce scandale sans précédent.

Mais la Ministre de la Santé espagnole n’est pas la seule à avoir agi avec une légèreté incroyable, voire coupable : c’est toute la chaîne des responsabilités depuis l’OMS jusqu’à l’hôpital de Madrid en passant par les autorités sanitaires européennes qui ont autorisé un tel double transfert sans s’assurer de la sécurité de la manœuvre, sans parler du gouvernement espagnol : ce sont tous ces responsables qui devraient rendre compte face aux populations de leur incompétence crasse.

Malheureusement, un malheur en chassant un autre, il est à craindre que la démission de la Ministre de la Santé espagnole ne serve de fusible pour tous les autres responsables et coupables dans ce dossier qui s’est déjà traduit par l’euthanasie inutile du chien de l’infirmière Thérésa Romerao, l’aide-soignante contaminée et qui pourrait se poursuivre par le décès possible de l’aide soignante, en espérant que d’autres personnes n’ont pas été contaminées entre-temps…

Aux États-Unis ce n’et pas mieux : on apprend de nos sources officieuses mais crédibles, que 3 policiers de Dallas ressentiraient actuellement plusieurs symptômes d’Ébola, après s’être occupés matériellement du cas du Libérien arrivé par avion du Libérien contaminé, et décédé depuis.

Enfin en France un bâtiment de la DDASS a été bouclé à Cergy Pontoise sur des craintes de cas suspects de virus d’Ébola de retour de Guinée infectée…

Il serait temps que le peuple occidental tape du poing sur la tables pour que les zones infectées soient verrouillées par des sas de mise en quarantaine de 21 jours (c’est parfaitement faisable contrairement aux racontars des élites pro-NWO et leurs relais richement appointés), le temps de venir à bout de cette épidémie, avant qu’il ne soit trop tard et qu’il devienne impossible de l’enrayer.

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Teresa Romero aurait notamment contacté les services de santé trois fois en se plaignant de fièvre, avant d'être enfin placée en quarantaine.

A chaque jour ses révélations sur les failles de la réponse espagnole face au virus Ébola. Dans un rapport accablant, un médecin ayant soigné l'aide-soignante contaminée – dont l'état s'est fortement dégradé – dénonce jeudi 9 octobre les conditions de sa prise en charge. En parallèle, les médias ibériques ne cessent de dépeindre une dramatique impréparation. Retour sur cinq possibles couacs.

1 .Trois alertes avant d'être placée en quarantaine

Selon le "Guardian", l'aide-soignante "a dit au moins à trois reprises aux services de santé espagnols qu'elle avait de la fièvre, avant d'être placée en quarantaine". 

Cette femme d'une quarantaine d'année était entrée dans la chambre du premier missionnaire atteint d'Ébola rapatrié du Liberia à deux reprises : pour lui changer les langes et pour prendre ses vêtements après sa mort. 

Elle part en congés au lendemain du décès du deuxième missionnaire, le 25 septembre, sans faire l'objet d'un suivi spécifique. Le 30 septembre, elle se plaint "d'une légère fièvre et de fatigue" auprès d'un service consacré aux risques du métier d'infirmière à l'hôpital Carlos III, toujours selon le quotidien. Mais comme sa fièvre n'a pas encore atteint les 38.6°C, on lui conseille de se rendre dans une clinique locale où du paracétamol lui est prescrit.

Quelques jours plus tard, selon le journal "El País", Teresa Romero Ramos appelle à nouveau l'hôpital pour se plaindre de sa fièvre. Aucune mesure ne serait cependant prise.

Le lundi, elle téléphone à l'hôpital Carlos III, disant cette fois se sentir très mal. Plutôt que de la transporter à l'hôpital qui a traité les deux missionnaires atteints d'Ébola, on lui demande alors de contacter les services d'urgence et de se rendre à l'hôpital le plus proche de son domicile.

2 .Des ambulanciers non protégés

L'aide-soignante est transportée à l'hôpital d'Alcorcón par des ambulanciers paramédicaux qui ne portent pas de vêtements de protection, rapporte "El País".

3 .Séparée des autres patients par un rideau aux urgences

A son arrivée à l'hôpital, malgré son état, Teresa Romero Ramos prévient le personnel qu'elle craint d'avoir contracté le virus Ébola. En dépit de cet avertissement, elle reste dans les locaux des urgences pendant plusieurs heures en attendant les résultats de ses analyses, placée dans un box seulement séparé des autres patients par un rideau. 

4 .Des tenues de protection inadaptées

Selon le médecin qui prend alors en charge l'aide-soignante, lui et des infirmiers entrent dans la chambre avec des combinaisons de protection de base : une blouse, de doubles gants, une cagoule et un masque chirurgical. "Les manches étaient trop courtes", dit-il. 

Au fil des heures, l'état de santé de Teresa Romero Ramos se détériore brutalement. Mais c'est par la presse que le médecin apprend le résultat du test, positif pour Ébola, la concernant.

Toutefois, selon lui, ce n'est qu'à minuit qu'arrivera enfin l'ambulance pour la transporter à l'hôpital Carlos III-La Paz.

5 .Une formation insuffisante

Comme dans la prise en charge des missionnaires, les personnels soignants au chevet de leur collègue se plaignent d'être insuffisamment formés. 

"Je ne suis pas préparé. Je ne suis pas entraîné. Et c'est pareil pour de nombreux collègues", dénonce dans "El Mundo" Santiago Yus, un des médecins traitant l'aide-soignante à l'hôpital La Paz-Carlos III. 

Ce jeudi, l'état de Teresa Romero Ramos s'est dégradé, l'aide-soignante se trouvant "en grave danger" de mort selon le président de la région de Madrid.

Lire aussi : 

CBS: "Le plus important journal du Libéria publie que le gouvernement américain est impliqué dans la création biogénétique du virus Ébola"

 

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Source(s) : euronews / YouTube / ​999spiritus / Le Nouvel Observateur / Par Laura Thouny, le 09.10.2014

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