J'étais un peu sceptique sur le contenu assez hallucinant de ce document de l'oms mais, après vérification, c'est bien exact. Le document est consultable ici. (voir notamment les tableaux à partir de la page 38). Le tout provenant du site du bureau régional OMS pour l'Europe.
En 2010, ce rapport est livré en anglais et en russe ; un an plus tard, le site Internet de l'OMS affirmait déjà que « plusieurs pays [avaient] traduit et mis en œuvre ces normes ».
C'est l'équivalent suisse du Planning familial « santé sexuelle » qui est à l'origine d'une traduction française accessible au public, cette année. Une pétition a été lancée en France contre ce rapport, affirmant qu'il était sur les bureaux des ministères. Difficile de le savoir. Ce qui est sûr, c'est que notre gouvernement partage la même idéologie ; ils l'ont prouvé cette année… et le pire est à craindre.
On passe outre l'innocence des poupons et on démarre au berceau : de zéro à quatre ans, il est temps d'apprendre la « masturbation enfantine », de laisser l'enfant exprimer « ses besoins, ses désirs et ses limites » – sexuels, entendons-nous bien – en « jouant au docteur ».
Inutile de protester, l'OMS a anticipé la réaction des parents réacs qui refuseraient que quiconque « joue au docteur » avec leur nourrisson : « Ce programme se confrontera à une résistance fondée sur des peurs et des préjugés. »
Prière de ravaler vos préjugés et de laisser faire les pros. Forte de ses « spécialistes », l'OMS propose en effet « une information objective, scientifiquement correcte », quand les parents ne sont que « sources informelles ». Les États relais veilleront …
Jeudi, najat vallaud-belkacem annonçait qu'elle envisageait de retirer une part fiscale aux familles dont un seul membre travaille. Difficile de ne pas y voir un moyen de séparer les enfants de ces « sources informelles », obstacles potentiels au bon endoctrinement… Mères de famille qui avez à cœur d'aider vos enfants à grandir : au travail, pendant que l'État s'occupe de vos enfants « scientifiquement ».
Reprenons. Ils ont quatre ans et, outre la masturbation, connaissent « les différentes sortes de relations familiales » et savent qu'ils peuvent « explorer les différentes identités sexuelles ».
Il est donc temps d'apprendre « l'égalité entre les sexes », les émotions liées à l'amour que sont « jalousie, colère, agressivité et déception », et enfin « l'amitié et l'amour envers les personnes de même sexe ».
Ayant fêté leurs six ans, bien conscients des « différentes normes en matière de sexualité », il est urgent de leur parler « éjaculation et menstruation » et « méthodes de contraception ». Oui, à six ans. Puis on enchaîne sur « les rôles socialement associés aux genres ».
Du coup, de neuf à douze, on explore le monde du Planning familial, des MST, des orientations sexuelles en insistant sur « l'influence des inégalités liées au genre » et du coup, la pression exercée par « le groupe, la culture, la religion, la loi ». Passé douze ans, il reste à parler d'avortement et de « grossesse dans les couples de même sexe ».
Les petits de quinze ans aborderont alors la PMA, la GPA, le don de sperme et la prostitution pour que l'éducation soit complète.
Alors, non seulement les rédacteurs souhaitent en faire « un cadre de référence » en europe, mais en bons colonisateurs mondialistes rêvent de l'imposer « comme argumentaire pour un plaidoyer en faveur de l'introduction d'une éducation sexuelle holistique dans chaque pays ».
Il convient donc de rappeler l'histoire de David Reimer, l'un des premiers cobayes de ce genre d'éducation. Élevé comme une fille à la suite d'une circoncision ratée, il a subi toutes les étapes clés de ce rapport, avant d'apprendre la vérité et de « redevenir » un garçon.
À 38 ans, c'est le suicide qu'il a finalement « choisi ».
Loin de là d’accord avec toutes les conclusions du rapport je trouve que cet article est TRES TRES orienté et n’a pas très bien compris le sens profond du rapport. Chaque fois que le terme désir, besoin , sexualité, etc est utilisé pour les enfants je ne pense pas qu’il soit écrit dans un sens sexuel de tous les jours mais bien dans un sens psychanalytique, médical ( voir théories de Freud et autres théories du développement psychosexuel) . De plus il ne s’agit pas de dire à un enfant de 6 ans ” quand on fait l’amour à la fin l’homme éjacule” si vous avez juste une pointe de pédagogie vous vous doutez que l’on va dire quelque chose du genre ” quand un papa et une maman s’aiment très fort bah le papa il lance des petites graines” (ou autre chose) Je pense que beaucoup de familles en france on déjà ce système d’éducation sexuelle, mais malheureusement tout le monde n’explique pas la sexualité à ses enfants et c’est comme ça que l’on arrive à des extrêmes comme aujourd’hui :des personnes n’ayant jamais eu d’orgasmes, ayant peur de la sexualité, des accro aux pornos, des violences conjugales ,des perversions toujours plus tordus des personnes ne voyant la sexualité que comme un moyen de reproduction, ETC
En dernier, David Reimer s’est certes suicidé, mais est ce a cause de ses problèmes psychologiques ou est ce à cause du fait que sa femme l’ai quitté ? De plus ses problèmes psy ont été certainement dû au fait qu’il n’ai appris son véritable sexe qu’à l’adolescence. En effet l’étude avait pour but de déterminer, si le sexe était seulement social ou si il y avait quand même des dispositions génétiques. Malheureusement David Reimer a été une expérience vivante qui a cause des fins tragiques ne pourrait être répliquée désormais.
Je me sens obliger de commenter cet article tellement il est malhonnête intellectuellement.
Croire que l’enfant n’a pas de désir sexuel c’est une chimère.
Tous les enfants garçons ou filles se posent des questions sur leur corps vers l’age de 3-4 ans. C’est le moment ou on réalise que les garçons et les filles ce n’est pas pareille. Que papa est différent de maman justement.
Ce que Zitouni n’explique pas dans son article c’est que le rapport conseil (il n’oblige en rien) les thèmes que les parents peuvent aborder pour répondre aux questions que l’enfant se posera.
Car les tableaux conseillent qu’il est bien d’expliquer qu’il ne faut pas avoir honte de son corps et qu’il faut avoir de l’estime de soit. Qu’il faut expliquer que les garçons ne sont pas mieux que les filles et inversement. Qu’il faut respecter les différences.
Il faut que l’enfant puisque exprimer ses désires et ses émotions pour qu’il puisse savoir dire NON quand il juge que quelque chose est mal. L’enfant doit comprendre que son corps lui appartient a LUI et pas à quelqu’un d’autre.vIl doit comprendre aussi que si un autre enfant dit NON il doit arrêter.
Qu’il ne faut pas avoir peur de demander de l’aide quand quelque chose ne va pas. Que les comportements en public ne sont pas les mêmes qu’en privée.
Que passer 4 ans ces sentiments vont changer. Qu’il va commencer a ressentir de jalousie, de la colère, de la déception et justement il faut savoir apprendre a gérer ses déceptions. C’est le moment ou on doit lui faire comprendre que la famille et les amis ce n’est pas pareille. Le rapport explique aussi qu’il faut faire comprendre a l’enfant que chaque pays est différents avec ses normes et qu’il ne faut pas juger.
Bref je pourrais continuer longtemps, sans parler de masturbation enfantine ou de David Reimer.
le gosse qu’on voit sur la photo est passé sur NT1 hier soir dans Tous différents. Cette emission m’a vraiment fait flipper et montre à quel point ils veulent instaurer la théorie du gender dans toute les têtes.