Geert Wilders, l’allié de Marine Le Pen au Parlement européen, accusé de crime rituel, par Laurent Glauzy

Geert Wilders : Le 5 juin 2014, devant la Cour de Justice Internationale de Droit Commun de Bruxelles, Anne Marie van Blijenburgh, accuse la reine des Pays-Bas et plusieurs membres de l’élite politique néerlandaise, dont le très islamophobe et pro-sioniste Geert Wilders, allié de Marine Le Pen au Parlement européen, de pratiquer des crimes rituels sur des enfants.

Cette déclaration fait suite à deux précédentes affaires qui entachent les Pays-Bas, démontrant que les élites mondiales, sont des adeptes du satanisme, comme en atteste l’explosion de la pédophilie :

 En 1995, en Turquie, un adolescent de douze ans déclare à la police avoir été enlevé et violé sur un yacht de luxe par Joris Demmink, secrétaire général du ministre de la Justice néerlandais. Les enfants étaient fournis par un fonctionnaire de la police turque, Mehmet Korkmaz, attaché à la sécurité de Demmink pendant ses « vacances ». En 2012, un journaliste d’investigation néerlandais, Micha Kat, est arrêté dès sa sortie d’avion, à l’aéroport de Schipol, à Amsterdam : il connaissait les noms des hautes autorités qui avaient couvert Demmink. Kat possédait le témoignage d’une des victimes de Demmink, affirmant avoir été à la réalisation de snuff movies à Prague, où un adolescent serait mort après avoir été sodomisé avec un vibrateur. Un proche de Demmink, Frits Salomonson, avocat personnel jusqu’en 1996 de la reine Beatrix, était l’amant de son mari, le prince Claus [1].

En novembre 2013, une autre citoyenne néerlandaise, Toos Nijenhuis,devant le Tribunal pénal international sur les crimes de l’Église et de l’État (ITCCS), a témoigné avoir vu le cardinal hollandais Bernard Alfrink, le prince Bernard de Hollande, fondateur du groupe Bilderberg, et le cardinal Joseph Ratzinger, le futur Benoît XVI, de pratiquer des sacrifices d’enfants [2].

« Mon nom est Anne Marie van Blijenburgh. Je suis mariée depuis vingt-quatre ans à Kees van Korlaar. Ensemble, avec ses trois frères, Kees van Korlaar forment une organisation criminelle du nom d’Octopus Syndicate. Ils sont actifs depuis 1960. Sur demande de la reine Beatrix, ils ont organisé le meurtre, la torture, le viol d’enfants lors de réunions publiques. Ils organisent cela par le biais de centres de détention pour adolescents aux Pays-Bas. Les criminels disaient auprès des centres de détention qu’ils avaient demandé à la cour des enfants pouvant travailler pour la reine hollandaise, pour un certain temps.

Ils ont volontiers donné les fichiers d’enfants aux criminels.

Quand les centres de détention voulurent vérifier la demande des criminels, ils communiquaient un nom et les coordonnées téléphoniques d’un haut représentant de la cours de la reine Beatrix, expliquant que la cour hollandaise.

Après la réception des dossiers de trois enfants, les criminels sélectionnaient l’un d’entre eux qui n’avait pas de famille. Ils disaient au centre de détention les enfants qu’ils voulaient. Le centre rendait les habits à l’enfant qui prenait le train jusqu’à Zwolle.

Les criminels prenaient l’enfant à la gare de Zwolle et l’amenaient à un bâtiment qui était équipé comme un hôtel mais qui ne faisait pas fonction d’hôtel, bien que des personnes faisaient en sorte que ce lieu ressemble au fonctionnement d’un hôtel. L’enfant était disposé sur une table et on lui donnait quelque chose à boire. Il était drogué. Dans le bâtiment, il y avait des gens qui étaient assis et à un moment précis l’enfant était apporté par les criminels dans un autre bâtiment, pour y être torturé, violé et assassiné.

L’audience était composé du prince Johann Friso, le second fils de la reine Beatrix. Johann Friso était relativement fou et a un intérêt malsain pour les enfants et est suivi quotidiennement par un psychiatre. Le nom du psychiatre est Guus Pareu Dumont. Les criminels organisaient ces meurtres en accord avec la reine Beatrix, qui prenait tous les frais à sa charge. Les criminels demandaient à Johann Friso d’amener ses amis. Ainsi, la totalité du bâtiment était remplie de personnalités, tels des ministres, des hauts-gradés de l’armée et toute sorte de personne que les criminels pouvaient photographier pour en tirer certains avantages.

Pouvez-vous donner le nom des personnes présentes ?

Les personnes que j’ai reconnues sont le prince Johann Friso, son psychiatre Guus Pareu Dumont. J’ai reconnu la femme de Johann, Mabel Wisse Smit. Elle était présente avec un homme âgé. Je pense que c’était George Soros. J’ai reconnu Herr Donner, ancien ministre de la justice, le vice-roi des Pays-Bas. J’ai reconnu Ernst Hirsch Ballin, un ancien ministre de la Justice. J’ai reonnu M. van den Emster, il était pendant des années représentant des juges aux Pays-Bas. J’ai reconnu Dick Berlijn. Il était un ancien responsable de l’armée néerlandaise. J’ai reconnu un journaliste très important. J’ai reconnu Carla Eradus, la femme du psychiatre Guus Pareu Dumont. Elle est la présidente de la cour, à Amsterdam. J’ai reconnu Mark Rutte, l’actuel Premier ministre des Pays-Bas [Ndlr : et président du Parti populaire libéral et démocrate]. J’ai reconnu Geert Wilders, qui est le représentant du parti politique, le PVV.

Chaque fois que j’étais là-bas, il y avait une cinquantaine de personnes. On m’y a amené trois fois.J’ai vu à chaque fois qu’ils tuaient un enfant. J’ai vu tuer deux garçons et une fille. Je présume que c’étaient des enfants des Pays-Bas. Je présume qu’ils venaient de centres de détention et étaient recrutés de la manière que j’ai décrite.

Savez-vous ce qu’il s’est passé pour les restes d’enfants morts, où ils furent incinérés ou qu’est ce qu’ils sont devenus ?

Oui, malheureusement, je le sais, oui. Ils ont été mis dans un container de refroidissement derrière le bâtiment où ils ont été assassinés. Après les spectacles, le container était amené en Belgique où ils avaient une partie de terrain. Les enfants étaient jetés dans un trou.

Quel est le nom de cet endroit en Belgique ?

Je dois chercher. Je peux le retrouver.

Qu’aimeriez-vous qu’il se produise après tout cela ?

Je voudrais que ces criminels soient mis en prison pour toujours.

Vous dites n’avoir reçu aucune aide aux Pays-Bas.

Pas une seule fois, c’est terrible : depuis 2004 à aujourd’hui. J’ai parlé avec chaque policier que je pouvais trouver, et chaque représentant de la loi, j’ai parlé à Interpole de ceci. Je suis allé à la justice pour tenter d’obtenir un procureur pour enquêter et faire condamner ces actes.

Le tribunal m’a dit que ce n’était pas mon problème, que c’était un problème de société, et la cour ne voulait pas donner un ordre au procureur pour enquêter. J’ai littéralement tout entrepris pour éclaircir cela. J’ai eu l’idée que tout a été arrêté parce que la reine Béatrice et la cour néerlandaise sont impliqués. Et chaque fois que quelqu’un veut enquêter, ils lui tapent sur les épaules, et dit ne fait pas cela parce que la reine Beatrix ne le veut pas.

Avez-vous l’intention de livrer ce témoignage dans d’autre cour, une cour de droit commun ?

Oui, je n’ai aucune objection à ce propos. Je suis très en colère. Si vous aviez vu ce que j’ai vu. Ça reste dans ma tête. Je ne peux pas l’extirper parce que c’est une des choses les plus horribles que j’ai vue. Ce que j’ai vu est horrible. C’est vraiment horrible. Les idiots. Une fois, je revenais chez moi, alors que mon mari m’avais amené. Il me drogua, me força à regarder et il me reconduisit à la maison, à cent kilomètres de là. Sur le parcours, je repris subitement mes sens. Je découvrir qu’ un enfant avait été tué. J’ai éclaté en sanglots. Mon mari était en train de conduire, et il porta son bras autour de moi et dit : Ne t’inquiète pas, ce sont des enfants de pauvres familles. Ce sont des orphelins, et leur mort n’a aucune importance. C’était impossible de décrire ce que je ressentais. C’est horrible !

Et votre mari est encore en vie ?

Il est encore en vie, et il continue de tuer. Si vous pensez au nombre de personnes qui ont put être tuées depuis 2004, depuis dix ans, et qu’ils en tuent dix ou vingt par an, c’est horrible. J’ai mentionné à la police quatre endroits aux Pays-Bas qu’ils utilisent comme cimetières pour les gens qu’ils tuent. Jamais, jamais, un seul policier n’a pris la peine de regarder.

Pouvez-vous nommer ces quatre places ?

Oui, je peux les nommer, je peux les montrer. Les criminels savent que j’ai donné ces endroits à la police, et ils ont eu plusieurs opportunités pour faire disparaître les corps. Je connais deux endroits où il est difficile de les faire disparaître. Mais, normalement, aux Pays-Bas quand vous trouver un corps dans une maison avec du sang, la police vient avec vingt ou trente personnes pour enquêter. Mais, quand je dis à la police que je connais quatre endroits aux Pays-Bas utilisés comme cimetière, et que chaque cimetière a vingt, cinquante ou peut-être cent personnes qui y sont cachées, personne ne cherche, personne ne va à ces endroits.

 Pouvez-vous nous donner votre nom et la date de ce jour

Aujourd’hui, c’est le 5 juin 2014, et mon nom est Anne Marie van Blijenburgh. »

[1] Maurizio Blondet, art. tirées de l’article La rete euro-pedofila mostra la coda in Turchia (le réseau euro-pédophile montre la queue en Turquie) du 7/4/14. (http/effedieffe.com/index.php?option=com_jcs&view=jcs&layout=form&Itemid=133&aid=290862.

[2] Chiesa Viva, n° 475, octobre 2014Sacrifici umani, coinvolto anche il card. Joseph Ratzinger ? (Sacrifices humains, l’implication du cardinal Ratzinger ?), du mensuel Chiesa Viva (dont Luigi Villa était le directeur fondateur).

Source : http://itccs.org/

 

 

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Source : Le Libre Penseur / Par Laurent Glauzy, le 11.10.2014 / Relayé par Meta TV

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