Attaque Américaine contre la Crimée ?

Un tremblement de terre frappe la Crimée ; Les troupes russes blâment le HAARP des États-Unis en disant que les États-Unis « ont utilisé une arme de destruction massive contre les militaires russes. »

Un séisme important a frappé la péninsule de Crimée, en Ukraine, dans la dernière heure et des sources militaires russes ont affirmé qu’il s’agissait d’une attaque délibérée par les États-Unis en utilisant son système HAARP, en Alaska, en représailles à l’entrée des troupes de la Russie en Ukraine.
 

Le tremblement de terre est confirmé par le Centre Sismologique Euro-Méditerranéen.

Selon des sources sur place, la surveillance militaire de la Russie a détecté des rafales intenses de longues ondes électromagnétiques avant le tremblement de terre.  Ils disent que les rafales étaient spécifiquement chronométrées et de nature répétitive, ce qui a provoqué une résonance dans le sol, déclenchant ainsi le tremblement de terre.

Ils prétendent que c’était une attaque délibérée par les États-Unis et utilisent un langage effrayant pour le décrire.  Un porte-parole a déclaré sans ambages, « Le tremblement de terre en Crimée a été causé par l’utilisation d’une arme de destruction massive par les États-Unis contre l’armée russe ».

Le High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP) est un programme de recherche du Département de la Défense financé conjointement par les Forces Aériennes des États-Unis, la Marine des États-Unis, l’Université de l’Alaska et la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA).  Conçu et construit par BAE Advanced Technologies (BAEAT), son but était d’analyser l’ionosphère et pour étudier le potentiel de développement de la technologie d’amélioration de l’ionosphère pour les communications radio et pour la surveillance.  Le programme HAARP exploite une importante installation subarctique, nommé la Station de Recherche HAARP, sur un siteappartenant aux Forces Aériennes près de Gakona, en Alaska.

Le principal instrument de la station HAARP est l’instrument de recherches ionosphériques (IRI).  Il s’agit d’un réseau phasé d’émetteurs radio à très grande puissance et à haute fréquence avec un ensemble de 180 antennes disposées dans un réseau de 12 par 15 unités qui occupent un rectangle d’environ 33 acres (13 hectares). L’IRI est utilisé pour énergiser temporairement une zone limitée de l’ionosphère.  D’autres instruments, comme une VHF et un radar UHF, un magnétomètre à saturation, un digisonde (un appareil pour sonder l’ionosphérique), et un magnétomètre à induction, sont utilisés pour étudier les processus physiques qui se produisent dans la région excitée.

Le projet HAARP dirige un signal de 3,6 mégawatts, dans la région de 2,8 à 10 MHz de la bande des hautes fréquences, dans l’ionosphère.  Le signal peut être pulsé ou continu.  Ensuite, les effets de la transmission et toute période de récupération peuvent être examinés à l’aide des instruments associés, y compris le VHF et les radars UHF, les récepteurs des hautes fréquences et les caméras optiques.  Selon l’équipe du HAARP, cela fera avancer l’étude des processus de base naturels qui se produisent dans l’ionosphère sous l’influence de l’interaction solaire naturelle, mais, beaucoup plus forte, et comment l’ionosphère naturelle affecte les signaux radio.

L’IRI peut transmettre en ondes continues ou en impulsions aussi courtes que 10 microsecondes.  Les transmissions en ondes continues sont généralement utilisées pour les modifications de l’ionosphère, alors que les transmissions en impulsions courtes répétées fréquemment sont utilisées comme un système de radar.

Le HAARP est l’objet de nombreuses théories du complot. Diverses personnes ont spéculé des motifs cachés et des capacités du projet, et l’ont blâmé pour le déclenchement de catastrophes telles que les inondations, les sécheresses, les ouragans, les orages, les tremblements de terre en Iran, au Pakistan, en Haïti et aux Philippines, les grandes pannes de courant, la chute de vol TWA 800, le syndrome de la guerre du Golfe et le syndrome de la fatigue chronique.

Un journal militaire russe a écrit que les tests de l’ionosphère « déclencheraient une cascade d’électrons qui pourraient faire basculer les pôles magnétiques de la terre ».

Le Parlement Européen et la législature de l’état de l’Alaska ont tenu des audiences sur le HAARP et ont émis des « préoccupations environnementales ».

Nick Begich Jr., le fils de l’ancien représentant américain Nick Begich et auteur de « Angels don’t play this HAARP », a affirmé que le HAARP pourrait déclencher des tremblements de terre et faire tourner la haute atmosphère en une lentille géante de sorte que « le ciel semblera littéralement brûler ».

« The History Channel » a fait une émission sur ce sujet, en expliquant exactement comment le HAARP pourrait être utilisé pour provoquer un tremblement de terre.

Les États-Unis n’ont pas répondu à l’accusation russe faite dans le cadre du tremblement de terre de Crimée, mais, les conséquences de l’accusation russe font peur : Si la Russie croit, et peut prouver, que le projet du Département de la Défense des États-Unis a été utilisé pour provoquer un tremblement de terre, alors, la Russie peut choisir de considérer le cas d’une « première frappe » avec une « arme de destruction massive ». Une telle détermination par la Russie pourrait alors servir de base pour qu’elle réponde à la première attaque avec leur propre attaque, avec leur propre arme de destruction massive.

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Source(s) : ConspiracyRealism / jor dan / YouTube / Turner Radio Network, le 01.03.2014 / La Voix de la Russie / Traduction : PLEINSFEUX.ORG

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